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[GUIDE ULTIME 2023 de la psychogénéalogie] :
Comment ça marche ?

Aujourd’hui nous allons partager avec vous comment guérir de sa famille et se libérer des angoisses de ses ancêtres.

psycho

Chapitre 1

Comment la vie de nos ancêtres peut-elle impacter notre vie au quotidien?

Chapitre 2
Pourquoi les thérapies actuelles et leurs méthodes ne nous aident pas ?

Chap3

Chapitre 3

L’importance de faire des recherches généalogiques et construire son génosociogramme

Chap4

Chapitre 4

La psychologie généalogique au service de notre bien-être ou comment guérir de sa famille et se libérer des angoisses de ses ancêtres ?

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Chapitre 5

Comment stopper la chaîne de la mémoire et de l’héritage transgénérationnel et se débarrasser des angoisses de ses ancêtres ?

C’est un fait indéniable : nous avons tous une famille ! Que nous la connaissions ou non, l’apprécions ou non, ces hommes et ces femmes qui nous ont précédés nous ont transmis notre nom, notre prénom, nos traits physiques et de caractère, mais aussi, et on le sait moins, leurs traumatismes au fils des générations.

CHAPITRE 1
Comment la vie de nos ancêtres peut-elle impacter notre vie au quotidien?

Qui peut se targuer d’avoir une vie aussi lisse qu’un galet, n’avoir jamais vécu aucun événement traumatique ou choc émotionnel et n’avoir aucun secret ? Personne. Par conséquent, nous subissons tous au moins une partie de l’héritage de nos ancêtres. Bien entendu, chaque secret que nos aïeux ont pu créer ne fait pas de nous les héritiers en charge de le découvrir, car la charge émotionnelle est différente selon la nature du secret. Mais rares sont les familles qui peuvent se vanter d’être parfaites (enfin qui le sont réellement).

Par ailleurs, en France, nos ancêtres ont tout de même subi trois guerres en 150 ans, ce qui représente environ 5 générations. Comment imaginer l’horreur de ce qu’ils ont vu, été obligés de faire ou subi pendant ces années d’affrontement ? La psychologie à cette époque-là considérait bien peu les conséquences et le mal-être qui découlait de cette violence psychique. D’autres traumatismes sont venus ponctuer la vie de nos ancêtres parmi lesquels les fausse-couches, les avortements, les décès d’enfants, les morts violentes, les suicides, les meurtres, la maladie, un cancer, la faillite, l’exclusion, l’inceste et le viole et certainement d’autres que nous avons du mal aujourd’hui à seulement imaginer, tant cela nous paraît lointain et surtout que cela a été tu. Même si les mœurs ont évolué -nous ne sommes plus bannies si nous tombons enceintes hors mariage – la part émotionnelle inhérente à ces chocs et certains troubles psychologiques sont restés intactes pour la plupart de nos ancêtres jusqu’à l’heure de leur mort. Et c’est en grande partie ce qui nous empêche d’avancer aujourd’hui, d’être nous-mêmes et de trouver notre place.

CHAPITRE 2
Pourquoi les thérapies actuelles et leurs méthodes ne nous aident pas ?

Une séance de sophrologie ou d’hypnose avec un thérapeute sont des méthodes qui pourront bien entendu nous soulager d’un problème rencontré dans notre vie, déclenché par un événement actuel, tout comme les bases scientifiques de la psychologie sont une approche qui permet de travailler sur les événements traumatiques de notre petite enfance, enfance, adolescence et vie d’adulte. Mais ces méthodes ne s’occupent que rarement de ces liens invisibles qui nous relient à nos ancêtres et plus particulièrement à ce qu’ils ont vécu de traumatisant. Les thérapies alternatives et la médecine proposées par de nombreux psychothérapeutes ont toute leur place dans l’accompagnement des symptômes psychiques et physiques mais peuvent être limitées par l’absence de connaissances liées au contexte socio-économique, culturel et historique dans lequel les maillons de notre chaîne généalogique ont été érigés. Chaque membre de la famille – et pas seulement nos ascendants directs – a sa propre histoire qui peut nous impacter aujourd’hui. Chaque être, que ce soit les oncles et tantes de nos grands-pères ou grands-mères, les enfants mort-nés ou bien les soldats morts au front, par son histoire, vient guider la nôtre, non pour nous faire souffrir, mais pour que nous lui redonnions sa place, prenions conscience de son vécu et lui permettions d’être en paix.

Cela peut ne pas paraître important pour certains de libérer nos ancêtres de leurs fardeaux mais si nous ne le faisons pas, d’une part nous ressentirons comme un poids sur nos épaules, des boulets à nos pieds ou des valises à traîner, ou bien nous serons comme empêchés d’atteindre nos objectifs, nos buts et de nous réaliser pleinement, mais en en plus, cela impactera nos enfants : difficultés d’apprentissage, troubles du comportement, problèmes d’élocution, visuels ou auditifs, et plus tard, impossibilité d’être rémunéré à sa juste valeur, mésentente dans le couple, … Tous les maux ne viennent pas de nos ancêtres, fort heureusement ! Parce que nous aussi nous avons notre vie, avec nos traumatismes et des épreuves à surmonter. Et si les thérapies alternatives avec l’accompagnement d’un thérapeute seront alors favorables pour la guérison, ou l’amélioration de notre état, il n’en reste pas moins que notre loyauté invisible envers nos ancêtres, le poid de dettes inconscientes, la répétition des schémas ou “ le syndrome d’anniversaire” mis en place depuis des générations, relèveront de la psychogénéalogie et d’un travail d’analyse transgénérationnelle seul, ou accompagné d’un thérapeute en psychogénéalogie.

CHAPITRE 3
L’importance de faire des recherches généalogiques et construire son génosociogramme

On pourrait alors avoir comme théorie qu’il suffit de connaître notre problème, de nous adresser à nos ancêtres pour que celui-ci disparaisse. C’est un peu plus complexe que cela ! Faire un travail de recherches sur ses origines généalogiques et psychogénéalogiques présente un triple intérêt :

  • S’investir dans l’analyse transgénérationnelle de notre histoire familiale en partant à la rencontre de la mère de notre grand-mère et des épreuves qui ont jalonné sa vie en découvrant par hasard à la lecture des registres de l’État civil un enfant mort-né ou le décès de son frère alors qu’elle était enceinte par exemple,
  • Valider le roman familial ou la théorie qui pourrait énoncer qu’untel est mort pour la France alors qu’il se trouvait dans la ville voisine, en prison ou dans un asile,
  • Se rendre compte d’un phénomène de répétition des dates, de prénoms et replacer ces individus dans le contexte qui était le leur (par exemple les coutumes pour prénommer un enfant diffèrent aujourd’hui de ce qui était d’usage de faire à l’époque où la femme ne pouvait que peu donner son avis!).

Faire ses recherches généalogiques en construisant un génosociogramme soi-même présente un double intérêt : savoir d’où l’on vient pour connaître où l’on va et s’appuyer sur des faits pour ensuite émettre des hypothèses et théories quant au vécu de nos ancêtres. Les recherches sur ses origines généalogiques et le travail de psychogénéalogie deviennent vite une passion pour qui les débute !
Le roman familial – c’est-à-dire l’histoire racontée et souvent édulcorée de la vie de nos aïeux – comporte parfois des non-dits, des erreurs ou des faux souvenirs induits qu’il est possible de vérifier en croisant les différents actes. On pourra par exemple démêler le lien de parenté de tel couple qui porte le même patronyme ou bien nous rendre compte que notre grand-père avait un frère aîné dont personne n’a jamais parlé.

CHAPITRE 4
La psychologie généalogique au service de notre bien-être ou comment guérir de sa famille et se libérer des angoisses de ses ancêtres ?

Cette liste n’est pas exhaustive et dépend en réalité de notre demande de départ, mais de nombreux bienfaits, à la fois sur nous, mais aussi sur notre entourage, ne manqueront pas de se faire sentir suite à l’étude de notre arbre généalogique. Pour autant, il ne s’agit pas d’un coup de baguette magique, cela demande de l’investissement et une réelle envie de changer les mécanismes qui, jusque-là, ont guidé notre vie. La compréhension grâce à la psychogénéalogie de nos origines et de notre histoire familiale grâce à l’analyse transgénérationnelle met de la lumière sur nos empêchements d’être et d’agir à notre guise. Certaines familles sont toxiques mais nous pouvons nous autoriser à ne plus subir l’impact du carcan mis en place par nos ancêtres, que ce soit volontairement (création d’un secret) ou à leur insu (victimes d’un traumatisme). La famille est un véritable tremplin pour notre évolution afin d’accéder à notre épanouissement personnel. La psychogénéalogie ouvre véritablement la porte à une vie plus sereine où nos émotions ne sont plus celles, cachées, de nos ancêtres, mais bien les nôtres, plus orientées vers la joie, le bonheur, la gratitude et l’amour.

Parmi les bienfaits de la psychogénéalogie, nous pouvons citer :

  • Retrouver une liberté d’action et de pensée
  • S’affranchir des schémas familiaux qui guident notre vie
  • Sortir de la dépression, du deuil, de la mélancolie
  • Rencontrer le conjoint qui nous convient
  • Être rémunéré.e à sa juste valeur
  • Affirmer qui on est vraiment
  • Devenir réellement adulte

CHAPITRE 5
Comment stopper la chaîne de la mémoire et de l’héritage transgénérationnel et se débarrasser des angoisses de ses ancêtres ?

Ainsi, ce que nous transmettons à nos enfants, petits-enfants, arrière-petits-enfants, nous, futurs arrière-grands-parents de nos descendants, sera un nouveau schéma de bienveillance car nous ne pouvons pas imaginer, en tant que parents, que nos enfants aient à surmonter ce que nous éprouvons aujourd’hui.

C’est chaque jour que nous contribuons à améliorer ce monde, à veiller à ce que les souffrances d’hier ne deviennent pas les obstacles de demain, mais qu’au contraire nos enfants, petits-enfants, aient tout le loisir d’exprimer leur créativité, sachent qui ils sont, s’aiment, pour mieux aller de l’avant. Une méthode pour faire la paix avec le passé pour créer le futur.